Où est passé le vol MH370 de la Malaysia Airlines ?

Disparu depuis le samedi 8 mars dernier, on n’a toujours aucune nouvelle du Boeing 777 de la Malaysia Airlines et de ses 239 passagers. 5 cinq jours après sa disparition, les hypothèses jaillissent de tous les côtés, mais les pistes sont peu à peu écartées et le mystère reste entier.

D’abord, on pensait qu’il s’agissait d’un accident, très rare certes, mais l’hypothèse semble correcte. Pourtant, lorsque les recherches pour retrouver des épaves ou de petites traces se sont avérées vaines, la thèse est écartée et on se tourne vers la possibilité d’un acte terroriste. Une thèse qui pourrait également être vraie si on se fie à la présence des deux personnes ayant embarqué à bord de l’avion avec de faux passeports et des deux autres personnes assez suspectes.

Toutefois, rien n’est encore confirmé, mais les autorités continuent leur enquête sur cette hypothèse. Puisque les thèses de l’accident et de l’attentat terrorisme semblent mener à une impasse, d’autres possibilités ont été retenues comme la désintégration totale en plein vol de l’appareil. Une désintégration si soudaine qui pourrait expliquer l’absence de signal de détresse, mais qu’est-ce qui aurait pu entraîner cela surtout qu’on n’a jusqu’ici retrouvé aucun débris. Enfin, une autre hypothèse apportée par le général Rodzali Daud : le demi-tour.

Même si le pilote aurait dû envoyer une alerte avant d’opérer un demi-tour, on s’accroche à cette idée, mais pourquoi n’est-il donc toujours pas arrivé à Kuala Lumpur ? Bref, nombreuses sont les hypothèses, mais aucune piste prometteuse n’a encore été retenue surtout qu’avec le phénomène des téléphones qui sonnent, le mystère reste encore plus épais que jamais. Si la thèse de l’accident se tient, ce sera alors le plus meurtrier depuis l’année 2001, année durant laquelle s’est déroulé l’accident de l’American Airlines qui a fait 265 morts.

Mais s’il ne s’agit d’aucune des thèses avancées ci-dessus, peut-on avancer un phénomène paranormal ? Ce qui est sûr c’est que cette disparition obligera désormais les avionneurs à rallonger la durée d’émission des balises fixées aux enregistreurs de vol pour accroître la sécurité des passagers.